Point n’est besoin d’aller loin de l’Hotel « Chez Loan » pour être dans la carte postale vietnamienne.
Assis sur la terrasse devant l’hotel, en dégustant une assiette de nems dont Loan a le secret, nous pouvons voir dans la rizière qui jouxte l’hotel, des gens qui s’affairent et prendre quelques photos.
Une dame, chapeau pointu, courbée dans la rizière dont nous ne comprenons pas les gestes, Loan nous explique qu’elle attrape des petits crabes sur un monticule. Les rizières sont un écosystème, que nous allons bientôt découvrir au cours de nos visites, qui ne fournit pas seulement du riz à manger.De l’autre coté, au pied de ces excroissances qui font le charme de la Baie d’Halong terrestre, un paysan suivi par ses canards. Trop loin pour voir à quoi il s’affaire.
Ces scènes paisibles nous plaisent et contrastent avec les quelques jours passés à Hanoi, ville bruyante.
Nous allons apprécier les 3 jours passés à Tam Coc, regrettant même de de ne pas pouvoir rester plus longtemps pour nous y reposer.
Tout est déjà booké pour la suite de notre voyage
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De l’autre coté de la route coule un rivière qui traverse un village paisible, des canards s’ébattent en toute liberté dans ce milieu, immense rizière. Nous les retrouverons souvent au cours de leurs promenades lointaines.
Devant et derrière nous, voilà le paysage qui s’offre à nous avant que nous pénétrions plus loin au cours de nos promenades à pied et plus tard en sampan sur les rivières de Tam Coc. Brumeux paysage, mais finalement nous lui avons trouvé beaucoup de charme.
Notre seule crainte était d’avoir à subir la pluie. Elle nous aura épargnés à Tam Coc, perturbant juste notre visite d’un site proche, Hoa Lu. Ce sera l’occasion d’étrenner nos ponchos vietnamiens – sacs poubelle – achetés en catastrophe dans les montagnes de Sapa. |
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