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| Une vidéo pas si ancienne (1999), mais Playa s’est tellement transformée depuis qu’elle pourrait décevoir ceux qui l’ont connue avant ses profondes transformations. La ville est toujours en travaux, repoussant sans cesse ses limites. |
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| Ses plages sont, maintenant, plus organisées, rentabilisées, animées. Mais, entre les bars, les lits de plages, les parasols vous arriverez encore à vous frayer un passage. |
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| La Quinta continue de s’étendre, devient un peu plus chic, moins pittoresque. En plus de proposer toutes les créations de l’artisanat mexicain, elle attire les belles boutiques, des restaurants qui proposent une world cuisine capable de satisfaire toutes les envies. |
Cette année, un coup de coeur pour « Di Vino » un restaurant au design raffiné avec sa salle dont les deux façades sont ouvertes sur la rue.Pas très affamés ce soir là, nous nous sommes laissés tenter par une brochette de boeuf argentin et une bouteille de vin qui a du apprécier le respect que lui témoignait le jeune propriétaire des lieux.
Excellent vin dont la dégustation nous permettra de prolonger la soirée.En attendant d’être servis, nous avons pu apprécier une table où le serveur préparait méticuleusement un vin dans une carafe.
Décidément Playa a bien changé, même nos tongs sont restées à l’hôtel. |
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La nostalgie de nos premiers séjours explique peut être cette fidélité à Playa. C’est un des rares endroits où nous sacrifions une partie de nos vacances pour nous consacrer au farniente et à la plage, en sachant qu’ensuite Playa est la porte qui s’ouvre sur le Yucatan.
Le séjour m’aura permis de lire sur la plage, le roman écrit par François Berléand et de me faire remarquer à force de rire au larmes de ses aventures de jeunesse.
(Le fils de l’Homme invisible ) |
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